Coucou, ici Neph. Je postule à la place de modérateur. Voici mon texte. J'espère que vous aimerez et si vous en voulez d'autres n'hésitez pas à demander
Les chroniques de Gibber Montagné
[Chapitre I]
Le vieux gibberling quitta son piano et s'exclama:
-Mon petit enfant, veux-tu que je te raconte comment j'ai rencontré ta mère qui m'a tapé dans l’œil au péril de mes yeux?
-Oh oui papa! S'exclama l'enfant tout émerveillé.
Et il commença tout en ronchonnant, "Si tu étais encore là ma belle aimée..."
C’était à la fin de notre saison de globinoball, après avoir eu l'énorme privilège de recevoir le trophée par les mains d'Aidenus lui même, nous fûmes conviés à venir célébrer notre victoire à la taverne. Je me mis donc sur mon trente-et-un pour faire la fête et en profiter pour trouver celle que je cherchais depuis des années, celle que je pourrais appeler mon éternel amour.
Aucune Gibberlette ne fut à la hauteur. Déprimant, je sortis prendre l'air accompagné d'une bouteille de gibbka. Soudain, quelque chose d'aussi effrayant qu'un énorme tréant me pris en chasse. Regardant mieux, je distinguai une silhouette qui ressemblait étrangement à un gibberling géant... Fût-ce un mirage? A croire que l'alcool n'était pas mon fort. Quand cette bête rugit avec une voix rauque, je compris que c'était un énorme ours garou. Éclatant de rire, je lui criai à la figure: "Hey le québecquois, chante moi ça:
♫♪♫Celui qui n'a jamais été seul au moins une fois dans sa vie
♫♪♫ L'alcool prenait vraiment le dessus. Je me décidais tout de même à prendre la fuite, ça dura bien dix minutes. Il me fixait avec une tête qui disait: "JE VAIS TE VIOLER ... "A ce moment m'apparu la créature la pus magnifique de tout le royaume, elle mit à ses ordres l'ours garou sans difficulté grâce à ses talents d'invocatrice.
Ébahi par cette elfette, je ne pus 'empêcher de lui demander son nom. Elle m'observait, brida les yeux et répondit:"Ly, Noe Ly".
Les années passèrent, la magnifique Noely, le québecquois (le surnom que l'on donna a notre garou) et moi même nous apprêtions à vivre le plus beau jour de notre vie. Les noces furent inoubliables, on apperçu même Yasker et Aidenus s'échanger des câlins. Nous décidâmes de partir pour notre lune de miel, dans un contrée lointaine, nous avions même loué une péniche. Nous partîmes en astralamer. Ce fut mon premier voyage et certainement le dernier. C'était merveilleux jusqu'à que notre québecquois se mit à fredonner une musique romantique. Je me rappellerai à jamais des paroles:
♫♪♫Fais comme si j'avais pris la mer, j'ai sorti la grand'voile, et j'ai glissé sous le vent
♫♪♫ Et tout bascula. Les chants du canadien réveillèrent une créature venue d'ailleurs, nous lui donnèrent le nom d'"Octulu". Il nous pourchassa des heures, je le combattis avec honneur, je perdis mes yeux dans cette atroce bataille et le canadien mourru en sauvant Noely.
-Voila tout mon petit.
-Mais papa, comment vous êtes rentrés maman et toi? Demanda l'enfant.
-Ça mon petit, tu le sauras dans le prochain chapitre des chroniques de Gibber Montagné.
Le vieux, apaisé et souriant, se remit sur son piano et chanta:
♫♪♫ On va s'aimer, sous une étoile ou sous un oreiller
♫♪♫